Périphéries humaines
Année 2010
La compagnie Nue Comme l'œil travaille depuis sa création en 2003 à la croisée des arts: Théâtre, Danse, Musique, Arts Plastiques…
Elle aborde les thèmes de la mémoire, du territoire, de l’altérité ou de l’exil à partir de textes théâtraux, poétiques ou des recueils de témoignages.
Revendiquant son ancrage dans la cité, elle associe les habitants des villes qu’elle traverse à ses projets.
LE PROJET
En partant du témoignage des habitants, nous souhaitons avant tout nous ancrer dans une réalité: celle de l’Humain pour le replacer au centre.
Aborder les trajectoires individuelles, interroger l’espace intime et collectif, puis l’altérité.
Périphéries humaines permet une suspension du temps, offre un territoire de parole et tente un instant de déplacer la marge.
LE TEXTE
Euryale COLLET-BARQUERO
Bourse d'encouragement du Centre National du Théâtre en 2007 pour son premier texte Profil Précaire, elle a depuis continué à écrire des pièces de Théâtre en étant soutenue notamment par France Culture. Son dernier texte, On n'oublie jamais le bruit d'un rêve qui part, vient d'être sélectionné par le Théâtre de l'est Parisien.
LA MISE EN SCENE
Zmorda CHKIMI
Comédienne et metteur en scène, elle a travaillé pour diverses compagnies théâtrales et productions cinématographiques.
Suite à un travail avec des Femmes étrangères durant 2 ans à Montreuil, (recueils de paroles et créations) elle crée la Compagnie Nue Comme l’œil en 2003 dont elle assure la direction artistique.
Texte : Euryale Collet-Barquero
Mise en scène : Zmorda Chkimi
Interprétation : Alexandra David, Iljir Sélimoski, Jean-claude Dreyfus
Danse : Naïma Ouarda, Emilie Barret
Musique: Mehdi
Décor et costumes: Flora Viguier
Lumières: Arthur Cemin
Coordination : Julie Monnet
Théatre Ouvert